Actuellement se déroule le procès pour violence conjugale d’une personnalité bien connue du public.

Dans ses propos rapportés par la presse, cette personne explique avoir causé des blessures aux plaignantes à cause de son trouble développemental de la coordination (TDC, dont l’appellation grand public est « dyspraxie »).

DFD tient tout d’abord à rappeler son opposition à toute forme de violence, quelle qu’elle soit et notamment physique ou verbale.

Le TDC entraine un déficit de coordination et d’automatisation des gestes. Il provoque une situation de handicap dans la vie quotidienne, à l’école, dans l’emploi, dans les loisirs, le sport, etc.

DFD accompagne et soutient les enfants avec TDC et leurs parents, ainsi que les adultes avec TDC, depuis 15 années. Notre expérience de plusieurs milliers d’accompagnements sur cette période ne nous permet pas d’établir ou de noter de lien entre la violence et le TDC.